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Conversations de Christian Jaccard

Christian Jaccard (né en 1939) - Editions ENSBA - Ouvrage broché - Textes en Français - Publié en 02/01/2011

Conversations prolégomènes à ma rééducation artistique de Christian Jaccard.

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Référence 9782840563457
Artiste-Genre Christian Jaccard (né en 1939)
Editeur(s) ENSBA
Format Ouvrage broché
Langue Français
Dimensions 205 x 140
Date parution 02/01/2011
Poids 0.476

Traces, empreintes, noeuds, combustions, pliages, tressages, estampages, les thèmes récurrents de l’oeuvre de Christian Jaccard et sa méthode sont repérés et approfondis au long de ce volume qui retranscrit une trentaine d’entretiens avec l’artiste (tenus entre 1975 et 2008).

Ces conversations sont échangées avec des personnalités, artistes ou critiques d’art comme Germain Viatte, François Mathey, Gérard-Georges Lemaire, Bernard Millet, Pierre Coulibeuf, Pierre-André Boutang, Bernard Muntaner, Mona Bessaa et Harry Bellet.

Biographie de l'auteur : Né en 1939, Christian Jaccard Vit et travaille à Paris. Sa première exposition personnelle a lieu en 1962 à Paris. Son travail est associé aux recherches du mouvement Supports/Surfaces. Depuis la fin des années cinquante, Christian Jaccard expérimente diverses techniques et processus combinatoires pour effectuer des recherches sur la trace, l’empreinte, la marque. Dans un premier temps, de 1958 à 1962, il prend des empreintes d’arêtes et d’ossatures sur le sable et les transfère en lithographie (Ossature de poisson, 1962). Par la suite, il crée des « bricolages-assemblages », des Outils-échelles, et des boîtes, des coffrets, des caisses contenant ses Outils réalisés avec des ficelles, des cordes en lin, en chanvre, en jute, en sisal. Il utilise ces déchets de textures et les noue, les ligature ou les ficelle (Boîte bleue contenant 13 outils, 1972). Il prend des empreintes sur toile en encrant ces mêmes objets et les expose ensemble comme des Couples. À partir de 1973, il utilise le feu pour brûler ses toiles (Toile calcinée, 1973, et série des Pièces blanches brûlées) ou celles des autres (série des Anonymes calcinés), en faire des « reliques ». Il met encore à l’épreuve du feu des cuirs (ensemble des Trophées), des papiers. Dans les années 1980, il réalise de petites sculptures en or à partir de ses Outils faits de matériaux de rebut pour introduire un questionnement sur la valeur de l’oeuvre, « la qualité des choses ». Il crée des Outils armés en les couvrant de graphite (Couple d’objets armés, 1984-1986). À partir de 1986, il tresse des mèches sur des armatures de fer ou de PVC pour la série Concept supranodal, dont certaines pièces peuvent être monumentales (Édifice, concept supranodal, 1999) et développe notamment des processus de combustion plus radicaux pour créer d’autres brûlis.

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