Lettre d'information

Malmaison et la musique - De Joséphine à Hortense

Art et Musique - Editions Musée national des châteaux de Malmaison et de Bois-Préau / Liénart - Ouvrage broché - 96 pages - Textes en Français - Publié en 2025

Joséphine de Beauharnais fit de son domaine de la Malmaison une demeure à la mode, un lieu de culture et de délassement pour la cour consulaire puis impériale. Mais quelle place la musique y occupait-elle et quel était le goût de Joséphine pour la musique ?

Expédié sous 3 à 6 jours

20,00 €

Seulement 0,01 € de frais d'envoi au dessus de 35€ d'achat en France

Référence 9782359064780
Artiste-Genre Art et Musique
Auteur(s) Collectif
Editeur(s) Musée national des châteaux de Malmaison et de Bois-Préau / Liénart
Format Ouvrage broché
Nb. de pages 96
Langue Français
Dimensions 240 x 180
Date parution 2025
Musée Musée national des châteaux de Malmaison et de Bois-Préau

Joséphine de Beauharnais fit de son domaine de la Malmaison une demeure à la mode, un lieu de culture et de délassement pour la cour consulaire puis impériale. Mais quelle place la musique y occupait-elle et quel était le goût de Joséphine pour la musique ?

Comme toute femme aristocratique d'Ancien régime, Joséphine a su acquérir une formation artistique, tant la pratique des arts s'entend comme la manifestation d'un art de vivre indissociable du bon goût et de l'élégance. La musique revêt une dimension sociale. Aussi, quand Joséphine et Bonaparte achètent Malmaison et qu'une réorganisation de l'espace intérieur est engagée, la petite galerie devient-elle une salle de réception dédiée à la musique. Pas moins de six pianos témoignent de la place de l'instrument dans la vie de Joséphine.

La musique se laissait donc entendre à Malmaison sous plusieurs registres. Le premier est celui de la rencontre personnelle de l'Impératrice avec l'instrument ; le second est celui du divertissement de salon : la musique fait partie des distractions des soirées ordinaires, avec les dames de sa maison, quelques invités choisis et ses enfants lorsqu'ils sont présents ; cette pratique, qui a toujours existé, prend de l'importance après le divorce, lorsque l'Impératrice déchue essaie de recomposer autour d'elle une société et des usages de cour.

L'ouvrage est ainsi l'occasion d'évoquer plus largement, sous la plume de conservateurs, universitaires et musicologues, les salons de musique pendant le premier Empire ou la romance au temps d'Hortense

Produits déjà vus