Afin d'optimiser votre expérience de navigation, ce site utilise des cookies. En navigant sur ce site, vous en acceptez l'usage.
La « redécouverte » de Georges de La Tour, peintre renommé en son temps, mais tombé dans l’oubli après sa mort, est une grande conquête de l’histoire de l’art.
Trois siècles après sa mort, en 1715, Louis XIV demeure le seul roi à avoir suscité autant d’images. Peintures, sculptures, estampes, médailles, tapisseries étaient chargées de répandre son effigie, celles des membres de sa famille et la représentation de ses hauts faits.
Jusepe de Ribera (1591, Espagne - 1652, Italie), fut considéré de son vivant comme le premier peintre de Naples, où il s’établit vers 1616 et un des plus grands dans cet âge d’or de la peinture européenne que fut le XVIIe siècle, avec ses contemporains, Rembrandt, Rubens, Velázquez, Poussin et Vouet.
Poussin est le plus grand peintre français du XVIIe siècle. Figure du « peintre poète » inspiré par Ovide ou Virgile, modèle du « peintre philosophe » imprégné des vertus antiques, il est l’auteur d’un œuvre aux résonances multiples dont la dimension chrétienne a été trop souvent négligée, voire contestée.
Evocation de l'oeuvre la plus célèbre de Nicolas Poussin et réflexion sur l'art pictural de l'époque classique.
Diego Rodríguez de Silva y Velázquez (1599-1660) n’était pas seulement le plus important des peintres de l’Âge d’or espagnol; il est l’un des peintres européens les plus admirés, à la fois référence et source d’inspiration pour des générations d’artistes.
Monarque emblématique du XVIe siècle français, François Ier évoque surtout, dans la mémoire collective, les figures du chef de guerre victorieux et du prince mécène qui favorisa la Renaissance française des arts et des lettres.
Pour la première fois en France, une exposition est consacrée aux Tudors. Près de 150 oeuvres : peintures, sculptures, gravures, manuscrits, bijoux, objets personnels permettent de mieux comprendre cette période décisive de l'histoire.
Figure majeure de l’histoire de l’art, Diego Velázquez (1599- 1660) est sans conteste le plus célèbre des peintres de l’âge d’or espagnol.
Presque oublié ces deux derniers siècles, le peintre Charles de La Fosse (1636-1716) est pourtant le grand introducteur des idées nouvelles sous le règne de Louis XIV.
Monographie d'une oeuvre : Le Couronnement de la Vierge, grand retable peint par Simon de Châlons, daté de 1539 et conservé à Avignon dans l'église Saint-Agricol, qui a récemment bénéficié d'un vaste projet de restauration.
Ce livre est publié à l’occasion de la grande rétrospective consacrée à Diego Velázquez et ses contemporains au Grand Palais. Cette monographie de référence présente la totalité de l’œuvre peint de Velázquez (soit environ 130 tableaux).
Entre Le Brun et Watteau, La Fosse ouvre la voie à la peinture du XVIIIe siècle. Pourquoi un peintre d'une telle importance n'avait-il pas fait l'objet jusqu'à ce jour d'une monographie complète présentant sa vie et son oeuvre ? En sont la cause l'ampleur de la tâche, la rareté des documents d'archives et la dispersion des oeuvres...
La présente publication inaugure une nouvelle génération de catalogue raisonné des collections de peintures du musée des Beaux-Arts de Lyon.
Fruit de nombreuses années de recherche, l’ouvrage d’Éric Coatelem présente un panorama de la peinture française de natures mortes au XVIIe siècle, avec les œuvres de Jacques Linard, Louyse Moillon, Jean-Baptiste Monnoyer, Pierre Dupuis ou Sebastien Stoskopff, autant de noms qui évoquent les différentes facettes de la peinture française.
1 note(s)
|
Jean Boucher de Bourges (ca 1575 - ca 1633) - Textes de Jacques Thuillier et de E. Meslé. Catalogue d'exposition Musée des Beaux-Arts d'Angers.
L'oeuvre de Poussin reste l'un des plus parfaits accomplissements du classicisme, associant des sujets inspirés des mythologies antiques à des compositions exigeantes et rigoureuses qui semblent faire écho, dans le champ des arts figuratifs, à l'idéal de clarté et d'élévation de la philosophie cartésienne.
Qui est cette adolescente au regard perdu ? D'où vient son chapeau si bizarre ? Pourquoi pose-t-elle ainsi ses mains sur le cadre du tableau dont elle est le sujet ? Que semble-t-elle vouloir nous dire ?
Le catalogue permet de redécouvrir l’œuvre de Bon Boullogne qui, avec Charles de La Fosse, Jean Jouvenet, Antoine Coypel et Louis de Boullogne, fut l’un des cinq plus célèbres peintres d’histoire de la fin du règne de Louis XIV.
Francisco de Zurbarán (1598-1664) est l'un des grands peintres baroques espagnols, à l'instar de Velázquez et de Murillo. Zurbarán est à la fois un produit de son époque et un artiste singulier, dont la puissance du langage plastique exerce une fascination intacte.
Les Bas-fonds du baroque révèle le versant obscur et insolent de la Rome baroque, celui des bas quartiers, des tavernes, des lieux de perdition.
Du milieu des années 1650 à sa mort en 1669, à 63 ans, Rembrandt (1606-1669) a créé un ensemble d'oeuvres tout à fait remarquable. Bien loin d'être affectée par l'âge ou par ses graves problèmes personnels, sa créativité a bénéficié d'un regain d'énergie dans la quête d'un nouveau style.
Pieter Coecke (1502-1550), qui jouissait d'une grande célébrité dans l'Europe de la Renaissance, a travaillé pour les commanditaires les plus riches et les plus puissants de son temps, dont l'empereur Charles Quint, François Ier de France, Henri VIII d'Angleterre et Cosme de Médicis.
Connu pour son influence sur le jeune Raphaël, Le Pérugin est avant tout un peintre novateur dont la fortune, très importante dans toute l’Italie au début du XVIe siècle, aura un écho particulier en France jusqu’à l’époque contemporaine.
Le présent catalogue raisonné consacré à Jan Gossart, peintre, dessinateur et graveur flamand, est la première publication majeure dédiée à cet artiste depuis plus de quarante ans et est le résultat d'études récentes et d'un nouvel examen technique de ses peintures.
1 note(s)
|
Ce volume interroge la polysémie de la grâce chez Jean-Antoine Watteau et ses contemporains, qu'elle soit artistique, littéraire, musicale, philosophique mais aussi spirituelle. De l'étude du geste gracieux, le volume étend son analyse vers la danse en étudiant la notion de mouvement puis de métamorphose du corps.
De la formation des grands maniéristes lombards du début du XVIIe siècle aux dernières années du Baroque lombard, l’exposition plonge le spectateur dans l’histoire de cette peinture où se côtoient réalisme, violence et beauté.
Robert Tournières, né et mort à Caen (1667-1752) fut un des grands maîtres du portrait au temps de Louis XV.
A la densité vibrante de Titien, aux fulgurances de Tintoret, Véronèse répond par la finesse inégalée d'un chromatisme limpide, où les ombres mêmes sont délicatement colorées, et par la grâce d'une composition majestueuse et sans emphase, toute en mouvement harmonieux, sans rien qui pèse ou qui pose.
Ce livre reconstitue la carrière du peintre Baptiste Pellerin et la replace dans le milieu artistique parisien de la seconde moitié du XVIe siècle.
Élève et proche collaborateur de Rubens, Érasme Quellin (1607-1678) contribue, par son activité prolixe et son style soigné, au rayonnement artistique d'Anvers.
La peinture produite à Lyon au XVIe siècle a presque entièrement disparu suite à l'iconoclasme et aux changements successifs de goût. Ce livre se propose d'en reconstituer certains aspects, en expérimentant de nouvelles pistes de recherche
Cette étude richement documentée a été écrite par un spécialiste de la peinture flamande et hollandaise du XVIIe siècle. L'iconographie met en relation les tableaux de Vermeer avec les oeuvres de ses contemporains.
L'exposition présente l'oeuvre de Georges de La Tour, artiste emblématique de la Lorraine, à travers le prisme du thème de saint Jérôme. > Voir détails de l'exposition
Le texte intégral de l’Éloge de la Folie d’Érasme, illustré par les œuvres d’artistes de la Renaissance du Nord, de Bosch à Bruegel, et accompagné des dessins d’Hans Holbein le Jeune, réalisés pour l’édition de l’Éloge de la Folie publiée en 1516 à Bâle.
Depuis quelques années, un regard nouveau est porté sur les tableaux installés dans les églises, jusque-là négligés par les chercheurs et considérés, tant par leur propriétaire que par les fidèles ou les historiens de l'art, comme de "vieilles croûtes poussiéreuses".
Première rétrospective en France consacrée à l'artiste Anversois Jacques Jordaens (1593-1678), l'exposition rassemble plus d’une centaine de peintures, esquisses et dessins provenant des collections françaises, européennes et nord-américaines.
Bien antérieur aux interprétations de la psychanalyse et aux découvertes des neurosciences, ce que l'on pourrait appeler l'"ancien régime" du rêve repose sur l'idée que le sommeil et les songes nous mettent en relation avec les puissances de l'au-delà.
A travers ses tableaux, dessins, gravures et tapisseries, on découvre l'itinéraire artistique de Michel Corneille (1601-1664), artiste original et emblématique de son siècle, dont la création se situe à la frontière de la peinture et des arts décoratifs.
Le XVe siècle français a été le siècle de Jean Fouquet et d’Enguerrand Quarton, le XVIIe, celui de Georges de La Tour et de Nicolas Poussin. Le XVIe siècle a eu Jean Cousin.
Du palais du Louvre au château de Fontainebleau, du parlement de Bretagne au théâtre des Tuileries et au premier Versailles, Charles Errard dirigea quelques-uns des plus prestigieux chantiers de décoration du XVIIe siècle.
Portraitiste attitré de Louis XIV et du jeune Louis XV, Hyacinthe Rigaud (1659-1743) fut aussi le plus célèbre et le plus couru de son temps.
Cette exposition et son catalogue se proposent d'aborder Rubens (1577-1640) dans sa dimension européenne : un artiste de talent qui, conscient de ses limites, a su s'entourer des meilleurs créateurs de son temps mais pour développer une vision à l'échelle de son temps et de l'espace de la chrétienté.
Les chefs-d'oeuvre réunis dans cet ouvrage illustrent l'importance de ce collectionneur hors du commun qui, ambassadeur de l'art nordique auprès du roi et de ses peintres, contribua à forger le goût des amateurs français pour les écoles du Nord.
Le musée des Beaux-arts de Nancy présente une exposition exceptionnelle sur une époque charnière fondamentale dans la construction de l’imaginaire européen : L’Automne de la Renaissance. D’Arcimboldo à Caravage.