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Agnès Varda, l'hyperactive, l'adepte du saut de puce, revendique le droit de rêvasser, de contempler. Sa richesse d'invention sans pareille nous y entraîne irrémédiablement. Ses installations mêlant musique, images fixes et animées, collages et objets du quotidien ont le pouvoir de nous rendre heureux, sinon philosophes.
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Model | 9791095821823 |
Artist | Agnès Varda |
Author | Collectif |
Publisher | Musée Soulages / Delpire |
Format | Ouvrage broché |
Number of pages | 160 |
Language | Français |
Dimensions | 275 x 220 |
Published | 2025 |
Museum | Musée Soulages, Rodez |
Exposition Agnès Varda. Je suis curieuse. Point, présentée au Musée Soulages de Rodez (28 juin 2025 – 4 janvier 2026).
Ce livre, qui accompagne l'exposition du musée Soulages de Rodez, est une invitation à la (re)découverte de l'univers enchanté d'Agnès Varda. Depuis les plages de son enfance à Sète, la rencontre décisive avec la famille Schlegel et Linou (Valentine Schlegel) surnommée Linou-bliable... jusqu'à Noirmoutier, l'île d'élection où Agnès, Jacques Demy et leurs enfants passent leurs vacances. Sans oublier les cabanes, le cirque, les rêveurs...
Le livre est construit en quatre chapitres qui se répondent. Le premier chapitre nous entraîne à Sète où sont évoqués pêle-mêle, à travers des photographies d'archives et les photographies d'Agnès, les souvenirs de jeunesse, les amitiés essentielles (Valentine et les soeurs Schlegel, Jean Vilar, Alexander Calder, Miquel Barceló), l'amour de la plage, du bateau, et le tournage de son premier film, La Pointe Courte en 1954, connu pour avoir inspiré la Nouvelle Vague.
Le deuxième chapitre fait la part belle aux cabanes, ces rêves d'enfants, faites de bric et de broc, de matériaux de récup. On retrouve ici l'Agnès des Glaneurs et la glaneuse. L'artiste affectionne tellement ces refuges, propices aux rêveries en tout genre, qu'elle a inventorié les cabanes de Noirmoutier, puis a fini par en construire avec la pellicule des copies de ses films devenues obsolètes ! Cela sera ses « cabanes de cinéma » dont elle disait « quand j'y suis, j'ai l'impression que j'habite le cinéma ».
De là on glisse vers le troisième chapitre consacré au bonheur, avec la plus emblématique des cabanes : la Cabane du Bonheur, réalisée avec une copie 35 mm du film du même nom (soit 2 500 mètres). Le bonheur, ce sont aussi les bouquets de fleurs qu'Agnès compose et photographie, le plus souvent dans les vases créés par sa complice Valentine Schlegel.
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