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Le carreau du Temple

Thème : Carreau du Temple, Paris - Editions Nicolas Chaudun - Ouvrage broché - 192 pages - Textes en Français - Publié en 02/04/2014

Histoire de l'actuel Carreau du Temple, dans le 3e arrondissement de Paris, qui fut successivement l'enclos du Temple, plus grande commanderie templière de France, la prison de Louis XVI et de la famille royale avant son exécution en 1793, puis un marché aux habits. L'inauguration du "nouveau" Carreau du Temple a lieu en avril 2014.

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Référence 9782350391588
Artiste-Genre Thème : Carreau du Temple, Paris
Auteur(s) Renée Davray-Piekolek, Florian Meunier, Manuel Charpy, Marc Le Coeur, Philippe Simon
Editeur(s) Nicolas Chaudun
Format Ouvrage broché
Nb. de pages 192
Langue Français
Dimensions 220 x 216
Date parution 02/04/2014
Poids 0.900
Afficher le lien de contact Oui
Musée Carreau du Temple, Paris

Le quartier du Temple à Paris, dans le 3e arrondissement, coincé entre République et le Marais, est plus connu des mordus de mode vintage, aimantés par la concentration locale de friperies et de boutiques de jeunes créateurs, que des touristes.

Cette tradition de la vente du vieux vêtement s’y installe au XIXe siècle. Alors que le quartier des Halles concentre le commerce de la viande, Bercy celui du vin, le Temple est dévolu à la fripe. Deux bâtiments sont successivement inaugurés pour accueillir une clientèle interlope : sous le Premier Empire, en 1811, la halle en bois de Jacques Molinos ; à la fin du Second Empire, en 1865, la halle en fer et en verre de Jules de Mérindol, sur le modèle des pavillons Baltard.

Le « carreau », qui désigne un espace de trottoir libre où les vendeurs de deuxième main s’installent à même le sol, occupe alors une partie des halles où se vendent des vêtements de qualité inférieure. Il ne reste aucun vestige de l’enclos antérieur au XIXe siècle, mais des souvenirs : celui du jeune Mozart jouant en 1764 dans les salons du prince de Conti alors grand prieur au Temple ; celui de Louis XVI et sa famille emprisonnés au donjon en août 1772 ; celui de la mort du dauphin en juin 1795. Puis le mur d’enceinte est détruit, des rues sont tracées, Alphand y établit un square, un lavoir et des bains publics sur lesquels sont construits la mairie de l’arrondissement.

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