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Essais florentins

Histoire de l'art, Renaissance à Florence - Editions Hazan - Ouvrage broché - 300 pages - Textes en Français - Publié en 2015

Les Essais florentins donnent un aperçu infiniment saisissant de la richesse conceptuelle de l'oeuvre d'Aby Warburg.

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Référence 9782754108225
Artiste-Genre Histoire de l'art, Renaissance à Florence
Auteur(s) Aby Warburg
Editeur(s) Hazan
Format Ouvrage broché
Nb. de pages 300
Langue Français
Dimensions 200 x 135
Technique(s) 200 illustrations
Date parution 2015

Aby Warburg (1866-1929) est demeuré en France une figure aussi légendaire qu’inconnue. Les Gesammelte Schriften dont il est l’auteur sont cependant des textes de référence faisant autorité auprès de nombreux chercheurs qui s’intéressent aux débuts de la Renaissance à Florence, à l’Allemagne du temps de la Réforme luthérienne.

Warburg contribue au renouvellement du concept de Renaissance stylistique par le problème qu’il fait sien, l’étude des stéréotypes formels empruntés à l’antiquité classique, qui servent à exprimer le mouvement et la passion. Il s’intéresse en effet non point aux principes d’engendrement et aux règles de construction d’un espace géométrique ou perspectif, mais aux règles de la représentation d’un espace intérieur rendu visible sur l’écran plastique à deux dimensions par des procédés beaucoup plus mystérieux.

Cependant le principe méthodologique auquel il se conforme lui interdit de dissocier l’étude des formes et celles des fonctions, l’étude de l’œuvre de celle de ses usages sociaux et du monde de l’art dans lequel elle a été créée. D’où une conception interdisciplinaire de l’histoire de l’art.

La thèse novatrice des Essais florentins réside dans la mise en évidence de la double influence de la vision esthéthique de l'art gréco-romain sur la première Renaissance italienne. Ainsi Warburg identifie-t-il plus que des emprunts du Quattrocento (XVe siècle italien) à la double richesse de l'Antiquité païenne " : l'harmonie apollinienne, et, à l'opposé, l'expressivité dionysiaque. " Les artistes du début de la Renaissance vénéraient l'Antiquité ressuscitée tant pour sa belle régularité que pour la maîtrise avec laquelle elle donnait expression au tempérament pathétique.

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