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Tal Coat en devenir (1905 - 1985)

Pierre Tal Coat - Editions Locus Solus - Ouvrage broché - 176 pages - Textes en Français - Publié en 2019

Tal Coat est un peintre de l'Ecole de Paris animé par la recherche entre matière, temps, espace et couleur. Son oeuvre, inspirée notamment par la Bretagne, traduit sa quête d'une réalité métaphysique.

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Référence 9782368332306
Artiste-Genre Pierre Tal Coat
Auteur(s) Jean-Marc Huitorel
Editeur(s) Locus Solus
Format Ouvrage broché
Nb. de pages 176
Langue Français
Dimensions 250 x 200
Date parution 2019
Musée Musée de Pont-Aven

Catalogue de l'exposition Tal Coat en devenir, présentée au Musée de Pont-Aven (1 février - 10 juin 2019).

Cette rétrospective permet de présenter une sélection de 85 œuvres (63 peintures, 19 œuvres d’arts graphiques, 3 sculptures), certaines inédites, Le catalogue reproduit toutes les œuvres de l’exposition.

Né à Clohars-Carnoët, près de Pont-Aven, Pierre Tal Coat, né Jacob (1905-1985), dit « Tal Coat », est fils de pêcheur. D’abord apprenti forgeron, puis clerc de notaire, mouleur et peintre sur céramique à la faïencerie Henriot. A Paris, il travaille à la manufacture de Sèvres et comme modèle à l’Académie de la Grande Chaumière. Après ces divers métiers, il devient artiste autodidacte. Au Louvre, il étudie l’art des grands maîtres des écoles françaises et italiennes du XVIème siècle, ce qui influencera son approche de l’espace. Henri  Bénézit, jeune collaborateur puis directeur de la Galerie Fabre, est séduit par ses dessins et pastels. Ce dernier organise une première exposition en 1927. C’est à cette occasion que Pierre Jacob choisit le nom de TAL COAT (“front de bois”), afin d’éviter la confusion avec Max Jacob. Dès lors, il s’installe à Paris et rencontre notamment Félix Fénéon, Ernest Hemingway, Francis Picabia, les frères Giacometti, Gertrude Stein. Le portrait de cette dernière remportera le prix Paul Guillaume, en 1936.

Dans les années 50, sa peinture se libère tout à fait des conventions de la composition classique et de l’espace pictural hérité de la Renaissance. Les éléments semblent fusionner dans un même mouvement, toujours en expansion. Au début des années 60, Tal Coat s’installe à Dormont, non loin de Giverny, dans la vallée de la Seine. C’est là qu’il accomplira pleinement son œuvre, après de profondes remises en cause qui déconcertent souvent ses contemporains, y compris ses plus fervents admirateurs. La liberté de peindre est à ce prix. Dans cette dernière période, il produit un ensemble d’œuvres (peintures, dessins, gravures) qui n’ont aucun équivalent dans l’histoire de l’art et qui font de lui l’égal des plus grands.

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