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Louise de Vilmorin (1902-1969), une vie à l'oeuvre

Louise de Vilmorin - Editions Snoeck - Ouvrage broché - Textes en Français - Publié en 2019

Lettres, manuscrits, éditions rares, photographies, extraits cinématographiques,tableaux, sculptures, mobiliers, présentent l’œuvre protéiforme de Louise de Vilmorin. 50 ans après sa  disparition, la femme de lettres qui fréquenta Antoine de Saint-Exupéry, André Malraux ou encore Jean Hugo bénéficie d’une mise en lumière de son processus créatif et de sa passion pour la littérature.

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Référence 9789461615558
Artiste-Genre Louise de Vilmorin
Auteur(s) Collectif
Editeur(s) Snoeck
Format Ouvrage broché
Langue Français
Dimensions 260 x 210
Date parution 2019
Musée Maison de Chateaubriand, Châtenay-Malabry

Catalogue de l'exposition Louise de Vilmorin (1902-1969), une vie à l'oeuvre, présentée à la Maison de Chateaubriand, domaine départemental de la  Vallée-aux-Loups, Châtenay-Malabry (19 octobre 2019 - 15 mars 2020).

Romancière, poétesse, épistolière, journaliste, biographe, parolière, actrice, scénariste et dialoguiste de film, Louise de Vilmorin a connu une vie tournée vers les arts. Cette carrière, longue de trente-cinq ans, débute avec André Malraux, son amour de jeunesse, qui lui conseille de s’essayer à l’écriture. En 1934 paraît son premier roman, Sainte-Une fois, livre qui attire  l’attention  de  Jean  Cocteau,  Georges  Auric  et  Jean Hugo. Ainsi  entrée  dans  la  littérature,  elle  publie  douze romans, des recueils de poésie,  des livres illustrés et en collaboration, une centaine d’articles de presse notamment pour Vogue et Marie-Claire, des traductions, des scénarios, des  milliers  de  lettres  et  une  biographie de Coco Chanel (Mémoires  de  Coco) commencée en 1948 et parue  post mortem en 1972.

Dans les années 1950, Louise de Vilmorin compose des vers, holorimes, palindromes et calligrammes qu’elle publie dans l’Alphabet des aveux en 1954. En 1955, elle reçoit le prix littéraire de Monaco, puis se tourne à partir de 1960 vers la poésie, la musique, et le salon qu’elle tient à Verrières-le-Buisson en compagnie d’André Malraux jusqu’à sa mort.

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