Musée national Fernand Léger - Biot

Informations pratiques: Musée national Fernand Léger Adresse : Chemin du Val de Pome 06410 Biot Tel : 04 92 91 50 30 Accès : Aéroport de Nice-Côte d’Azur, 15 km ; Gare SNCF de Biot puis liaison Envibus n°10 (arrêt musée Fernand Léger). Par l’autoroute, sortie Villeneuve-Loubet RN7, puis direction Antibes à 2 km et prendre la direction Biot. Ouvert tous les jours sauf le mardi, de 10h à 18h. Tarifs : 7,50€, réduit : 6€ incluant les collections permanentes, gratuité pour les moins de 26 ans et pour tous les 1er dimanche du mois

Le musée national Fernand Léger a réouvert ses portes en juin 2008 et présente aux visiteurs une restructuration des espaces intérieurs et une nouvelle circulation. Sa collection riche de plus de quatre cent cinquante oeuvres permet une connaissance du parcours d'un artiste qui a marqué le vingtième siècle par un style très particulier, aisément identifiable, et par une attitude de grande ouverture au monde. Des expositions temporaires sont consacrées à des aspects particuliers de l'oeuvre de Léger ou à des artistes dans sa mouvance. Le musée, dans sa nouvelle configuration, propose de nouvelles manifestations axées sur le cinéma, la littérature.

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Exposition Fernand Léger : Reconstruire le réel - Musée national Fernand Léger, Biot

Le 14 March 2014

L'exposition réunit plus de 80 oeuvres de Fernand Léger, dont certaines rarement présentées, dans un parcours qui explore une nouvelle facette de l'oeuvre de l'artiste, en le rapprochant du surréalisme.

Expositions Exils. Réminiscences et nouveaux mondes

Le 29 August 2012

L'expérience de l'exil est commune aux artistes Picasso, Chagall et Léger. Par leurs déplacements, voulus ou contraints, la vision de ces artistes s'en trouve transformée et leur façon de créer modifiée en profondeur.

Dis-moi, Blaise...Léger, Chagall, Picasso et Blaise Cendrars

Le 24 August 2009

"A cette époque, les peintres et les écrivains, c'était pareil. On vivait mélangés, avec probablement les mêmes soucis ; on peut même dire que chaque écrivain avait son peintre. Moi j'avais Delaunay et Léger, Picasso avait Max Jacob, Reverdy : Braque et Apollinaire tout le monde..." propos de Blaise Cendrars recueillis par Henri-François Rey, Arts, 10-16 novembre 1954.