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Le Moyen âge du XIXe siècle - Créations, copies et faux dans les arts précieux

Arts précieux - Editions Musée de Cluny / GrandPalaisRmn - Ouvrage relié - 320 pages - Textes en Français - Publié en 2025

Une exploration de l'histoire artistique de la redécouverte du Moyen Âge au XIXe siècle. Cette réinterprétation a contribué à façonner notre regard actuel sur l’art médiéval.

Détails de l'exposition

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Référence 9782711881611
Artiste-Genre Arts précieux
Auteur(s) Christine Descatoire, Frédéric Tixier
Editeur(s) Musée de Cluny / GrandPalaisRmn
Format Ouvrage relié
Nb. de pages 320
Langue Français
Dimensions 300 x 230
Technique(s) 220 illustrations
Date parution 2025
Musée Musée de Cluny - musée national du Moyen Âge, Paris

Catalogue de l'exposition Le Moyen Âge du XIXe siècle. Créations et faux dans les arts précieux, présentée au Musée de Cluny - musée national du Moyen Âge, Paris (7 octobre 2025 - 11 janvier 2026).

Cet ouvrage révèlera un pan fascinant de la création artistique d'un « Moyen Âge du XIXe siècle », dont nous sommes encore aujourd'hui tributaires dans notre compréhension de l'art médiéval.

Après les événements révolutionnaires, le 19e siècle redécouvre le Moyen Âge, tout en le réinterprétant. Ce siècle, qui cultiva une rêverie romantique et connut d’importants progrès technologiques et la constitution de grandes collections, s’est inspiré du Moyen Âge en produisant des copies, des pastiches, des oeuvres composites et des faux. L’exposition permet des confrontations, mettant en regard certains objets médiévaux avec leurs "résonances" du 19e siècle.

Le propos est centré sur les arts précieux, dans leur acception médiévale : pièces d’orfèvrerie et d’émaillerie, ivoires, tissus précieux. Ces domaines ont en effet connu au 19e siècle un foisonnement de redécouvertes techniques. Ces phénomènes culturels et artistiques émergent dès les années 1820-1830 jusqu’à la veille de la Première Guerre mondiale, soit pendant un siècle environ.

Collectionneurs, ateliers de création et de restauration, mais aussi faussaires, en sont les principaux acteurs, autour d’un marché de l’art en pleine expansion, focalisé sur Paris, qui apparaît alors comme la capitale des arts précieux.


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