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Femmes années 50 - Au fil de l'abstraction, peinture et sculpture

Histoire de l'art, XXe siècle - Editions Hazan / Musée Soulages de Rodez - Ouvrage relié - 223 pages - Textes en Français - Publié en 2019

Le catalogue présente la création abstraite des femmes dans les années 50 à Paris et permet de les mettre à nouveau sous la lumière, de rétablir la réalité et l’importance du travail de ces artistes.

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Référence 9782754111270
Artiste-Genre Histoire de l'art, XXe siècle
Auteur(s) Benoît Decron, Daniel Segala, Christophe Hazemann
Editeur(s) Hazan / Musée Soulages de Rodez
Format Ouvrage relié
Nb. de pages 223
Langue Français
Dimensions 280 x 240
Date parution 2019
Musée Musée Soulages de Rodez

Catalogue de l'exposition Femmes années 50. Au fil de l'abstraction, peinture, et sculpture, présentée au Musée Soulages de Rodez (14 décembre 2019 - 31 octobre 2020).

Cet ouvrage retrace leur histoire, des pionnières aux jeunes pousses, qui vont pied à pied s'affranchir des canons masculins et, dès la fin des années 1960, provoquer l'irruption de thèmes proprement féminins.

Qu’elles soient peintres, dessinatrices, sculptrices, plasticiennes... Quelques noms s’imposent : Pierrette Bloch, Marta Pan, Colette Brunswick, Christine Boumeester, Vieira da Silva, Geneviève Asse, Marcelle Loubchansky, Aurélie Nemours, Vera Pagava, Marcelle Cahn, Anna-Eva Bergman, Natalia Dumitresco, Karskaya, Staritsky, Alicia Penalba, Isabelle Waldberg... Elles ont incarné le renouveau artistique d’après-guerre, souvent au côté de femmes galeristes déterminées à mettre en valeur leur travail : Denise René, Colette Allendy, Nina Dausset, Lydia Conti, Florence Bank, Nina Dausset... sont autant de références.

Elles exercent, mais en ordre dispersé, une force agissante, décuplée par la critique et les galeristes. Elles oscillent entre l'art concret et l'abstraction lyrique. Malgré un déficit de reconnaissance, elles tracent une route dans ce qu'on appelle commodément l'Ecole de Paris. Si elles adhèrent à ce mouvement, c'est souvent pour en déborder.

Comme l'ont si bien écrit Elisabeth Lebovici et Catherine Gonnard, "toutes ces femmes [...] ont évoqué leur indifférence dans la création quant à leur sexe et ont affiché au contraire leur engagement pour "l'espèce humaine" ". Ensemble elles ont mis en place un art cohérent, des pistes solides et incarnées.

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