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Primitifs italiens, le vrai, le faux, la fortune critique - Catalogue d'exposition du musée Fesch

Primitifs italiens - Publisher Silvana - Ouvrage broché - 400 pages - Text in Français - Published in 15/07/2012

Le Palais Fesch-musée des Beaux-Arts d’Ajaccio propose au public une exposition jusqu’alors jamais organisée sur le goût des Primitifs et tente de répondre à une question que se pose la majorité d’entre nous: qu’est-ce qu’un «vrai», qu’est-ce qu’un «faux»?

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Model 9788836623662
Artist Primitifs italiens
Author Collectif
Publisher Silvana
Format Ouvrage broché
Number of pages 400
Language Français
Dimensions 280 x 220
Technique(s) 269 illustrations couleurs
Published 15/07/2012
Epoque XIe - XIIe siècles
Weight 2.065
Museum Palais Fesch-musée des Beaux-Arts, Ajaccio

Catalogue d'exposition "Vrai? Faux? Le primitif italien était presque parfait" présentée au Palais Fesch-musée des Beaux-Arts, Ajaccio (28 juin - 1er octobre 2012).

L'exposition trouve tout son sens au Palais Fesch, puisque le cardinal Fesch appartient à la génération des «pionniers» dans la découverte de la peinture italienne avant Raphaël, ignorée ou méprisée jusque-là.

Le parcours se propose d’évoquer l’évolution du goût pour les Primitifs italiens, depuis leur découverte au XVIIIe siècle, jusqu’à l’engouement pour les «fonds d’or» et la création de faux ayant parfois défié les meilleurs experts.

Mais il ne se limite pas à une exposition de contrefaçons et entend mener une réflexion sur l’œuvre et son double, sur les «copies, répliques et pastiches» présents dans la peinture italienne dès le Moyen Âge: la pratique des copies dans les ateliers des peintres de la Renaissance (Botticelli, Lorenzo di Credi, Ghirlandaio), la question des signatures, la persistance de certains modèles copiés sur plusieurs siècles, les portraits d’hommes illustres qui prendront place dans les galeries historiques.

Au XIXe siècle, la passion pour les «cabinets de gothicités» invita collectionneurs et marchands à des transformations, des maquillages ou des détournements d’œuvres parfois insolites. Cette «flambée médiéviste» eut aussi pour conséquence ultime l’explosion des falsifications à la fin du siècle. 

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